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julien dir

  • Les snipers de la semaine... (297)

    julien dir, république, droite

     

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Breizh-Info, Julien Dir dézingue la cinquième République, dévoyée et à bout de souffle...

    Conseil constitutionnel et tyrannie des « sages » : il est temps de dissoudre la Cinquième République et de tout reconstruire

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    - sur le site de L'Incorrect, Arthur de Watrigant allume lui aussi le régime et la fausse droite hypocrite...

    La France mérite une bonne droite

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  • Nos enfants sont-ils vraiment condamnés à vivre avec ces barbares ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et consacré aux émeutes qui ont fait suite à la victoire du club Paris-Saint Germain en coupe d'Europe des champions.

     

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    Violences après la victoire du PSG. Nos enfants sont-ils vraiment condamnés à vivre avec ces barbares ?

    J’ai vu les images. Mes enfants aussi. Des vitrines fracassées, des boutiques pillées, des pompiers agressés, des policiers encerclés, des véhicules incendiés, des Champs-Élysées transformés en terrain vague de fin de civilisation. Des hordes de décérébrés profaner la statue de Jeanne d’Arc. Et mes enfants, eux, restaient là, les yeux écarquillés, muets, face à un monde qui n’est pas le leur. Qui ne sera jamais le nôtre.

    Alors non. Je ne veux pas qu’ils grandissent dans ce pays devenu un terrain de jeu pour des hordes sans foi, sans culture, sans cervelle, déguisées en supporters mais nourries à la haine, au rap crétin, à la malbouffe, à TikTok, au vide. C’est cela, désormais, la France du spectacle et du sport roi : une armée de décérébrés élevés dans la mollesse permissive de l’école de la République, libérés de toute autorité, libérés surtout de toute dignité.

    La barbarie est là, sous vos yeux, et vous ne voyez rien

    On en viendrait à regretter les hooligans d’autrefois (qui soit dit en passant subissaient une répression incomparablement plus violente que les émeutiers du week-end). Eux, au moins, avaient un code d’honneur. Ils cherchaient leurs alter ego, d’autres combattants, d’autres passionnés, pour un affrontement codé, ritualisé. C’était brutal, mais il y avait un sens. Une logique. Une identité. Aujourd’hui ? Le néant. La meute. La masse. Le chaos.

    Les événements de samedi soir ne sont ni un accident, ni une surprise. Ce sont la conséquence mécanique d’une société qui a détruit tout ce qui tenait ensemble une civilisation : la famille, l’école, l’autorité, la transcendance.Et ce n’est pas faute de l’avoir vu venir. Depuis trente ans, les voyants sont au rouge. Les signaux d’alarme hurlent. Mais les élites, aveuglées par leur multiculturalisme rance et leur lâcheté institutionnalisée, n’ont rien fait. Ou plutôt si : elles ont tout laissé faire.

    Des milliers de barbares, et pas un sursaut

    Ils étaient plusieurs milliers à Paris, mais aussi à Rennes, Lyon, Grenoble, Nantes, Dax. A supporter une équipe cosmopolite, symbole même de ce football sans identité, sans enracinement. Mais que font des Brestois ou des Lorientais avec des maillots du PSG sur le dos ? Ils ont pillé Chanel comme on vole un paquet de chips. Ils ont craché sur la fête, profané la victoire, fait de la violence un rite d’exhibition, filmé et diffusé en direct sur les réseaux sociaux. Deux morts. Des dizaines de blessés. Des centaines d’interpellations. Et demain ? Rien. Quelques peines avec sursis. Un rapport. Une cellule de réflexion. Un énième déni.

    Ces individus, dont beaucoup venue de banlieue, mais pas que, ne sont pas des supporters, ni mes compatriotes. Ce sont des barbares modernes, déracinés, haineux, ivres d’impunité. Ce que nous avons vu, c’est la pulsion tribale d’individus qui ne veulent pas s’assimiler, mais dominer et terroriser par le néant. Qui ne veulent pas faire partie de notre civilisation, mais s’en emparer, la ruiner, la souiller.

    Une terre sans défense, un peuple sans État

    Et pendant ce temps-là ? Le ministre bredouille, le président condamne mollement, les préfets se félicitent d’avoir limité la casse, les sociologues cherchent des explications sociétales, les médias parlent de « débordements ». La novlangue anesthésie tout. Et la France, elle, saigne sans dire un mot.

    Je n’ai pas de haine. J’ai de la lucidité. Et une certitude : on ne peut pas cohabiter avec ceux qui brûlent ce que nous sommes. Notre terre ne peut pas se partager entre le feu et l’ordre, entre l’enracinement et l’errance, entre les héritiers d’une civilisation millénaire et les parasites d’un monde sans mémoire. Ce sera eux, ou nous. Le sursaut, ou la soumission. La reconquête, ou la disparition.

    Je veux que mes enfants sachent. Je veux qu’ils voient. Et qu’ils choisissent. Je ne leur dis pas de haïr. Je leur dis de survivre. Et pour survivre, il faut se réveiller, se relever, refuser cette république invertébrée et moribonde, bâtir autre chose, ailleurs peut-être, mais ensemble, entre nous, avec ceux qui savent encore ce que signifie être Breton, être Français, être Européen, être debout.

    Les barbares ne sont pas à nos portes. Ils sont dans nos rues. Et nous sommes seuls.

    Julien Dir (Breizh-Info, 3 juin 2025)

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  • Refonder la santé : pour une révolution sanitaire enracinée et souveraine...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et consacré à la nécessaire réforme du système de santé français.

     

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    Refonder la santé : pour une révolution sanitaire enracinée et souveraine

    Notre système de santé est à bout de souffle. Ce n’est pas une crise : c’est une fin de cycle. L’hôpital public est devenu une usine à malades où les soignants s’effondrent et les patients errent. Les déserts médicaux s’étendent comme un cancer, jusqu’au cœur des métropoles. Les médecins libéraux désertent les gardes. Les infirmiers fuient l’hôpital. Les services d’urgence ferment. Et pendant ce temps, l’État bricole, empile les « Ségur », verse des primes et remplit des tableaux Excel.

    Mais on ne répare pas un arbre pourri à la racine avec du sparadrap. Il faut une refondation. Une révolution douce, enracinée, réaliste. Une contre-utopie organisée autour de quelques principes simples : souveraineté, proximité, responsabilité.

    Un système régionalisé, enraciné dans la terre des vivants

    La première erreur historique fut de vouloir centraliser la santé. Un fonctionnaire à Paris n’a aucune idée de la situation à Guingamp, à Lannemezan ou dans les Hautes-Alpes. Il est temps de confier la santé… à ceux qui vivent là.

    Chaque région doit avoir son propre service de santé, sous forme d’une agence sanitaire autonome, dotée de son budget, de son plan d’équipement, de ses hôpitaux et de son réseau de soins. Cette régionalisation permettra d’adapter les politiques sanitaires aux réalités locales : en Bretagne, la priorité sera aux urgences rurales et au maintien des maternités. En Alsace, peut-être à la gériatrie. Chaque peuple de France doit reprendre la main sur sa santé.

    Mieux encore : pour les régions qui le souhaitent, un maillage européen à petite échelle peut être envisagé. Il ne s’agit pas de livrer notre santé à Bruxelles, mais d’organiser des coopérations transfrontalières en matière de soins rares, de transferts de patients, de formation ou de recherche. Une Europe enracinée, fondée sur les territoires et les peuples, pas sur les directives.

    Une promesse fondamentale : soigner chaque Français à moins de 30 minutes de chez lui

    C’est un engagement que l’on pourrait inscrire dans la Constitution. Un hôpital, une maison de santé, une structure de soins à moins de trente minutes de chaque Français, quel que soit son lieu de résidence.

    Cela suppose de rouvrir des structures, pas de les fermer. De réorganiser les urgences, pas de les mutualiser à 200 kilomètres. De créer un maillage d’unités mobiles de soins, de relocaliser les plateaux techniques, et surtout, de sortir de la logique purement comptable imposée par l’ARS et Bercy.

    Nous devons investir dans des soignants bien payés, bien formés et respectés, pas dans des consultants en management ou des applications inutiles. Le financement peut être assumé par les régions, à condition que l’on mette fin au gaspillage, à la bureaucratie et à la surfacturation provoquée par une complexité folle.

    Le Service sanitaire national : deux ans de don pour tous

    La France n’a plus d’armée du peuple. Elle n’a plus de service national. Elle n’a plus de lien social. Recréons-le par un Service sanitaire national obligatoire pour tous entre 18 et 40 ans. Chaque Français, homme ou femme, devrait consacrer au moins deux années de sa vie à servir : comme pompier volontaire, secouriste, aide-soignant, brancardier, auxiliaire de soins, logisticien de crise, etc.

    Ce service sanitaire permettrait de former une réserve active de plusieurs millions de citoyens capables d’intervenir en cas de catastrophe, d’épidémie, de guerre ou de crise majeure. Cela ouvrira des débouchés professionnels, moyennant équivalence, à tous. Ce serait aussi un creuset de fraternité réelle, de discipline librement consentie, et une expérience utile pour les jeunes qui veulent s’orienter vers les métiers du soin.

    À ceux qui hurleront à la militarisation ou à l’embrigadement, répondons qu’il s’agit d’un retour au réel. Le soin est un acte politique et communautaire. On ne soigne pas une société liquide avec des pixels. On la soigne avec des hommes et des femmes debout, formés, prêts à servir.

    Une exigence non négociable : un système fermé, souverain, protégé

    Il n’existe aucun système de santé viable dans une société ouverte à tous les vents. Une médecine gratuite, universelle, solidaire n’est possible que dans un cadre limité, fermé, défini.

    La France ne peut pas soigner indéfiniment la planète entière. Il est temps d’imposer un principe clair : les soins gratuits sont réservés aux citoyens français et aux étrangers ayant contribué durablement au financement du système. Pour les autres, c’est le pays d’origine qui doit payer. Ou bien c’est le patient.

    L’immigration n’est pas un droit à la santé gratuite. C’est une charge, souvent lourde, pour les hôpitaux, les urgences, les maternités. Dans un monde rationné, la priorité doit aller aux nôtres.

    Soigner, c’est bâtir une civilisation

    La médecine moderne s’est coupée de ses racines spirituelles, culturelles, éthiques. Elle est devenue une technique froide, parfois inhumaine. Refonder notre système de santé, ce n’est pas seulement gérer une crise ou améliorer des ratios. C’est rebâtir une civilisation autour de la vie, du soin, du sacrifice et du bien commun.

    Nous n’avons plus besoin de ministères pléthoriques, de commissions inutiles ou de colloques creux. Ni d’administrations vampires qui engloutissent le budget de l’hôpital. Nous avons besoin de médecins enracinés épaulés par des robots et par l’IA, de paysans bien portants, de jeunes qui s’engagent, d’infirmières et de sages-femmes respectées, de structures agiles, de territoires fiers.

    Et surtout, d’une Civilisation qui préfère soigner les siens que sauver le monde entier sur ses propres cendres. C’est possible. Il suffit d’oser.

    Julien Dir (Breizh-Info, 27 mai 2025)

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  • Les snipers de la semaine... (294)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Causeur, Jean-Paul Brighelli dézingue les Philippulus et autres prédicateurs de catastrophes...

    L’hubris démesurée des climatologues et autres faiseurs d’almanachs 

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    - sur Breizh-Info, Julien Dir rafale le député RN Jean-Philippe Tanguy pour ses déclarations visant l'hommage à Sébastien Deyzieu...

    Quand Jean-Philippe Tanguy crache sur le Comité du 9 mai et la mémoire de Sébastien Deyzieu : la trahison des médiocres

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  • Bulles sociales, larmes et aveuglements : quand un pays se désagrège totalement...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue e Julien Dir, cueilli sur Breizh-info et consacré à la libanisation de notre pays, qui se transforme sous nos yeux en un agrégat de groupes qui n'ont plus rien à partager, si ce n'est de l'hostilité...

     

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    De Philippine à ABoubakar…Bulles sociales, larmes et aveuglements : quand un pays se désagrège totalement

    Un homme est mort dans une mosquée, poignardé dans un lieu de prière. Il s’appelait Aboubakar Cissé. Il était jeune. Musulman. Malien. Assassiné par un Bosnien, pas franchement d’extrême droite comme l’ont pourtant indiqué certains médias. Ce drame a bouleversé ceux qui vivent dans leur bulle, celle de l’antiracisme, de la lutte contre l’islamophobie, de la peur croissante que suscitent les tensions identitaires. Jean-Luc Mélenchon, figure tutélaire de cette sphère, a pleuré dans les bras d’une femme musulmane, effondrée, apeurée. L’émotion était réelle. Profonde. Digne, peut-être. Mais elle a suscité moqueries, accusations de récupération, incompréhension ailleurs. Dans d’autres bulles.

    Quelques mois plus tôt, une autre jeune personne mourait. Elle s’appelait Philippine. Elle avait 19 ans. Elle a été retrouvée massacrée dans un bois, à Paris. Son meurtrier présumé ? Un homme en situation irrégulière, sous OQTF, déjà condamné pour viol. L’émotion, là aussi, fut vive. Mais dans une tout autre France. Celle qui n’existe pas dans les journaux de 20h, dans les tribunes universitaires ou sur les plateaux de talk-shows parisiens. Une France qui pleure Philippine comme elle pleurait Thomas, Lola, Anne-Lorraine ou bien d’autres. Une France qui n’entend jamais Mélenchon s’effondrer pour ces morts-là.

    C’est cela, désormais, la France : une société d’émotions fragmentées, où chaque camp a ses morts, ses icônes, ses victimes légitimes, ses récits exclusifs. Chaque drame est lu, digéré et exploité à travers le prisme d’une idéologie. L’assassinat d’un musulman est une alerte à la montée du fascisme. Celui d’une Française par un clandestin est une alerte à l’effondrement migratoire. Et chaque camp s’accuse de « récupération », tout en réclamant l’exclusivité de la douleur et du deuil.

    Ce phénomène porte un nom : l’éclatement des bulles. L’archipel français, décrit il y a quelques années comme une métaphore, est devenu une réalité concrète, explosive. Il n’y a plus de récit national partagé. Il n’y a plus d’empathie transversale. Il n’y a plus de compassion universelle.

    Nous sommes entrés dans une époque où l’indignation est conditionnée. Chacun choisit ses morts, ses causes, ses émotions. Chacun vit dans son couloir numérique, ses médias de confiance, ses figures de légitimité. L’autre n’est plus un concitoyen, ni même un adversaire politique. Il est un intrus, un manipulateur, un profiteur, un danger. Il est hors de la bulle. Il n’existe pas.

    Comment tenir encore ensemble, comme civilisation, quand on ne pleure même plus les mêmes morts ?

    Il y a dans cette situation quelque chose de profondément barbare. Un lent retour à l’état tribal. Les débats politiques ne sont plus des affrontements d’idées, mais des confrontations de sentiments irréconciliables. La violence symbolique des mots prépare celle, physique, des rues. On ne discute plus : on excommunie, on conspue, on hurle, on annule.

    Et plus grave encore : on désapprend à se mettre à la place de l’autre. La gauche ne peut plus compatir à la détresse d’un grand-père dont la petite-fille a été tuée par un homme sous OQTF. La droite ne peut plus entendre la peur sincère d’une femme musulmane qui redoute, chaque jour, d’être agressée en raison de son voile. Ces deux douleurs, pourtant humaines, trop humaines, devraient au moins nous toucher si ce n’est nous rassembler. Elles ne font que nous éloigner.

    La République, dit-on, est fondée sur un contrat social. Mais ce contrat suppose un minimum de valeurs communes, un récit partagé, un socle émotionnel transversal. Or, aujourd’hui, plus rien ne relie les bulles entre elles, sinon la haine réciproque. À force de vivre dans des mondes parallèles, nous avons creusé un gouffre au milieu de la place publique. Une société où les gens n’ont plus les mêmes références, ni les mêmes vérités, ni les mêmes morts… est une société au bord de la guerre civile.

    Car la guerre civile ne surgit pas d’un débat sur les retraites ou l’inflation. Elle naît quand plus personne n’accorde d’importance à la douleur de l’autre. Quand chaque camp pense que l’autre est fou, dangereux, ou indigne de vivre dans le même pays. Nous n’en sommes plus très loin.

    À ceux qui parlent encore de « vivre ensemble », il faut répondre ceci : il n’y a plus de société, il n’y a plus que des fragments en suspension, parfois en apesanteur, souvent en collision. À force de multiplier les peuples, les cultures, les normes et les tabous, on a créé des bulles multiples, qui tôt ou tard… exploseront.

    Julien Dir (Breizh-Info, 30 avril 2025)

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  • Les snipers de la semaine... (291)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Polémia, Jean-Yves Le Gallou dézingue contre l'hybris qui s'est emparée de la magistrature...

    Marine Le Pen inéligible : hybris et partialité insupportables de la justice

    Marine Le Pen 2.jpg

     

    - sur Breizh-Info, Julien Dir défouraille contre l'entrée dans l’ère du sexe sous contrat et du coït réglementé...

    Le sexe sous surveillance : bienvenue dans la République du non-consentement

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